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un peu d'éthologie...

par Marie

Bien cher tous,

il est temps d'examiner le léonberg d'un point de vue scientifique.

Prenons donc un peu de recul pour l'étudier dans son milieu naturel, et observons.

Après des mois d'études, nous constatons que la branche du léonbergus gigantéus se divise en plusieurs ramifications.

Je vous propose de vous montrer quelques spécimen.

Une chance pour vous, fidèle lecteur.

Tout d'abord, il y a leonberg à pois.

D'un naturel placide, il se déplace sur le dos, et se distingue par la présence de gros pois qui se développent sur ses longs poils.

Surtout en été.

Plus rarement, on peut observer certains sujets qui ont des pois sur la tête. C'est le signe d'une grande tension nerveuse. Soyons prudent.

un peu d'éthologie...

Il y a le léonberg-bondissant.

Celui-ci ne se déplace que par bonds. Il vit dans les fourrés et les buissons. Il est très difficile d'en croiser un à l'état naturel.

Normal, car on ne marche pas dans les fourrés.

Nous.

Après des journées d'observation et de planque, nous avons assisté à une scène tout à fait exceptionnelle pour la science : la rencontre d'un léonbergus-normal avec un léonberg-bondissant.

un peu d'éthologie...

Il y a le léonberg-LSD.

Un tableau très triste. Le léonberg-LSD ressemble à un junkie, il se distingue par son air défoncé, surtout lorsqu'il commence une crise de manque.

Quand la crise de manque est déjà installée, il se mélange les pattes avant.

Lamentable.

un peu d'éthologie...

ll y a le léonberg-à bottines.

Espèce peu commune, surtout en été.

Il ne supporte pas de sortir sans ses accessoires fashion.

L'an dernier, la tendance était au tissu Vichy.

Cette année, la mode était au gros pois blancs.

 

un peu d'éthologie...

N'oublions pas le léonberg-libellule.

Gracieux et aérodynamique, il est difficile de voir car il se déplace le plus souvent dans les airs.

Ici, au décollage, un léonberg-libellule particulièrement aérien et léger.

un peu d'éthologie...

Il y a le léonberg-caméléon.

Très proche de son cousin le caméléon, ses poils sont cependant plus fournis que ceux de son cousin. En effet, n'oublions pas que les caméléons souffrent de calvitie totale précoce, et cela arrive de plus en plus souvent.

Du coup, comme les caméléons ont très honte de cette calvitie, ils ne sortent plus. C'est pour cela que vous n'en voyez jamais. Car tout comme leurs cousins les léonberg-caméléon, ce sont des animaux d'une grande pudeur.

 

un peu d'éthologie...

Et pour finir, n'oublions pas le léonberg-chéri-chéri.

Ce cousin d'Alice Sapritch se distingue par son côté snob.

Il est assez difficile d'en apercevoir un.

L'apprivoiser représente un véritable défi, que nous avons relevé pour la science et votre plaisir.

 

 

Ce sujet a arrêté de fumer depuis peu, ce qui est rare car tout le monde connait ici la prédisposition naturelle du léonberg-chéri-chéri pour le tabac.

un peu d'éthologie...

Je vous remercie de votre attention.

 

A très bientôt fidèle lecteur !!!!!

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